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  • : Voyage intérieur et découverte du bdsm
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  • : Je dis souvent qu'il n'y a pas de hasard dans la vie. J'ai découvert le monde de la soumission et du BDSM avec fascination et ça n'était pas un hasard. Je viens partager mes fantasmes et désirs avec vous.
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Des mots... toujours des mots...

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Voyages au Pays du BDSM

Soumise .... Soumise à nos désirs.... Attachée parfois, j'adore ! Les yeux bandés, ça m'excite. J'aime me sentir entre des mains perverses et expertes, pour m'abandonner à ces vagues de sensations toutes autant exquises les unes que les autres. Bienvenue dans le Monde d'un Plaisir extrême !

Mercredi 28 mars 3 28 /03 /Mars 19:37

Petit boudoir pour un grand défouloir !!
 
Cet endroit est mon boudoir
Mon défouloir
Mon exutoire
 
J’y écris tout ce que je ne peux pas dire haut et fort tous les jours dans ma vie paisiblement organisée, dans une société ou avoir la haine du conformisme est assez mal vue !
 
Boudoir, car très privé, et n’accueillant que peu de personnes, … visiteurs invités, ou curieux
Défouloir car j’y dit tout ce que je retiens depuis tellement de temps !
Exutoire pour laisser passer mes frustrations, me débarrasser d’elles ! Un dérivatif ludique et communicatif !
Ecartelé entre mes envies et la triste réalité de la vie ! M’échapper un peu dans mes délires, et me laisser bercer par des idées si libératrices… quelles en sont salvatrices !
Par O'mbre - Publié dans : ombreattachee
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Mercredi 28 mars 3 28 /03 /Mars 16:30

Je viens de visionner le film de John Cameron Mitchell : Shortbus. Evidemment vous trouverez toutes sortes de critiques, bonnes, moins bonnes voir complétement mauvaises au sujet de ce film. Quoiqu'il en soit il m'a amusé, et je l'ai trouvé trés intéressant. On pourrait dire que ça n'est pas du Grand Art cinématographique comme le "Eyes whide shut" de kubrick, mais finalement il à l'avantage d'être simple, léger et donc de ce fait parfaitement digeste.

Simple ne veut pas dire simpliste. Au contraire, il dénonce de façon tout à fait directe la recherche du bonheur au travers d'une errance sexuelle que certains d'entre nous on pu connaître ! Au milieu d'un univers festif, joyeux, sensuel, doux, libertin et libéré, coloré et musical, les personnages sont en quête du bonheur. Homosexuels, hétérosexuels, travestis, Sado masochiste, et Originaux en tout genre s'y croisent et s'y amusent. Cet endroit tout particulier, fait rêver finalement. Aucune vulgarité n'y apparait, et bien que certaines scénes soient largement au dessus de l'érotisme, elles sont belles à regarder.

Ce film inspire la joie et il n'y a pas un seul moment d'ennui lorsqu'on se sent transporté au grés de la recherche de Mademoiselle la sexologue en quête d'orgasme.

Comble du comble, une sexologue qui n'a jamais eu d'orgasme cherche à tout prix à s'en procurer un. Et loin du classissisme elle le trouvera auprés d'un couple qui lui offrira, en guise de point final au film, un orgasme libérateur !

... Voilà, je pourrais en dire encore beaucoup sur ce film mais vous trouverez bien des commentaires sur internet et ailleurs pour vous convaincre de le regarder.

Voyez le, comme une récréation d'un moment, et moi finalement j'aimerai bien que ce genre d'endroit existe !

A quand un shortbus à côté de chez moi ?

 

Par O'mbre - Publié dans : Cinéma
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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 21:07
Fantasme
Une après midi… ayant le temps de discuter, un peu oisif tous les deux, je te sens l’envie de me titiller un peu. Tu t’installes pas très loin de moi, à distance quand même, et me demande de retirer ma culotte.
Tu m’observes attentivement et avec amusement.
Je me demande bien ce que tu va vouloir mais finalement je m’en fou !
Tu te lèves et viens t’installer en face de moi, assis par terre.
Je suis installé sur le canapé, et tu me demandes de me caresser.
 
Très excitée et aussi assez gênée je commence à me caresser. Je dégage mes seins un à un de mes vêtements. Une main passe doucement entre mes jambes, une autre caresse plus durement le bout d’un sein.
Je t’observe, tes yeux brillent.
Je suis embêté car je te dis que je n’arriverais pas à jouir si tu es loin de moi.
Tu éclates de rire, et me réponds que pourtant il faudra bien, que ça sera la seule occasion de la journée pour moi !
J’essaye de me concentrer, ferme les yeux.
Arrive à me détendre et essaye de détourner la situation.
Je te demande pourquoi tu ne te caresses pas aussi, et si tu bandes ?
 
Tu me réponds que non, tu ne veux pas te caresser, mais que tu bandes fort.
Tu jouiras après moi !
 
Je sens que je commence à avoir vraiment envie de jouir et tu continus à me parler. Tu t’approches sans vraiment me toucher. Tu m’effleures et j’ai très envie de tes mains sur moi.
Tu viens me dire au creux de l’oreille que demain tu vas me demander quelque chose de différent et que tu veux bien être sur que je comprenne bien. Que pour me rendre attentive et disponible tu me permets de jouir maintenant et que si je ne fais pas ce que tu veux demain, je passerais une semaine sans aucun câlin !
 
Je te demande ce que tu veux et tu m’expliques que demain nous irons faire des courses, que je devrais porter une jupe, un string, un tee-shirt, enfin ce que je veux en haut, et surtout qu’avant d’aller au magasin, que je devrais mettre le plug que tu viens de me sortir sous le nez.
Je n’ai jamais porté cet engin plus de dix minutes avant ! Et je me demande bien comment je vais faire. Tu me dis que tu m’accompagneras, et que tu feras exprès de me conduire sur les routes un peu sinueuses et cabossées, que tu prendras tout ton temps pour remplir le caddie et que tu prendras beaucoup de plaisir à me regarder faire. Tu penses même aller dans tous les rayons pour bien voir si il nous manque rien à la maison.
Je crois que tu feras une longue pause au rayon bricolage pour chercher de nouvelle idée et parfois tu passeras ta main discrètement sur mes fesses pour me sentir vibrer.
 
L’idée de tout ça m’excite au plus au point mais je n’arrive toujours pas à jouir.
Tu t’est approché encore plus de moi, tu es passé derrière moi et me caresses les seins.
Je manque encore de jouir … mais je me sens tellement observée et nerveuse.
 
Et tu finis ton histoire.
Tu me dis qu’en rentrant tu me demanderas de ranger les courses après m’être dévêtue. De venir m’installer à genoux devant toi après avoir finit et après inspection, tu m’autoriseras à enlever le plug.
Que tu viendras derrière moi pour inspecter l’endroit. Et que pour satisfaire ta curiosité tu prendras un certain plaisir à glisser plusieurs doigts gantés, dans l’espoir d’un jour, d’y glisser ta main.
Excitée je serais, et n’en pouvant plus non plus !
 
Je jouis à t’écouter.
Nous faisons l’amour toute l’après midi.
 
J’ai hâte d’être à demain. 
Par O'mbre - Publié dans : Fantasmes
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Lundi 26 mars 1 26 /03 /Mars 19:59

Hier soir, j’avais plus qu’envie de te sentir sur ma peau. Tu me manques … je n’ose dire combien ! Si ça pouvait se mesurer ! 

Ce soir tout est permis.
 
Habillée très sexy, tu viens me chercher pour passer un moment ensemble.
Apéro sur une terrasse, prés de la plage. Nous voila assis ensemble, admirant le coucher de soleil. Le vent vient nous caresser un peu. Je ne vois que ton envie dans tes yeux.
Discussions en discussions …. Après un verre, tu me demandes d’aller enlever mon string la ou je veux ! De te le donner après….
Sans rien dire, le sourire aux lèvres, je me lève et fonce dans les toilettes, la ou je suis bien certaine que personne ne me verra me déshabiller !
Je quitte mon string sous ma jupe toute légère et très transparente !
J’ai vraiment la sensation d’être nue… comme si tout le monde allait savoir ce que je venais de faire !
En sortant des toilettes, je roule mon string dans ma main, essaye de le cacher car mon sac qui est plutôt petit ne peut pas le contenir.
Et puis finalement tout ça m’amuse bien, donc j’arrive avec un air très fière tout près de toi et te donne mon trophée sans t’avertir…
 
Je m’assieds devant toi et te souris un peu.
Je te vois finalement assez embarrassé de tenir mon string dans ta main. Tu en fais une boule puis te viens l’idée de jouer avec. Je ne sais même pas si quelqu’un peut nous voir, te voir jouer avec mon string !
Je suis assise face la mer, face à toi
J’adore te voir, les yeux pétillants d’envie, légèrement plissé. J’adore te voir prendre cette espèce d’air de détachement lorsque tu commences à rentrer dans ton rôle, dans ton fantasme aussi. Ton regard change, tu sembles amusé mais crispé aussi, comme si ton désir remontait jusque sur ton visage sans pouvoir le contrôler.
Tu fais signe au barman pour qu’il vienne encaisser, mais avant tu as laissé bien en évidence ma culotte sur la table.
Il avance, et je me doute que l’échange de monnaie se prolongeant tu allais trouver la situation très excitante.
Tu fouilles dans ta poche, en ressort ton porte monnaie, et un collier. Mon collier. Tu l’avais préparé et le dépose sur la table, à côté de nos verres vides.
Tu me fais signe de l’attacher avant même que le barman soit partit. Intrigué celui-ci prend son temps et se trompe même en te rendant la monnaie. Il tremble et m’observe attachant ce morceau de cuir autour de mon cou.
 
On se lève et on décide de marcher le long de la plage. Tu me pousses légèrement vers la bordure. Me voila très vite contre une barrière de maison. Rien que ton souffle te trahit.
Je sens tes mains se presser contre moi, ton sexe raidit venir se coller à moi.
Dans ces moments la, je me sens tellement bien, t’appartenant au sens noble du terme que je ne voudrais pour rien au monde m’en passer.
Tu resserres mon collier que tu trouves un peu lâche. J’adore le porter car il te représente et ce sont tes mains sur moi, c’est ton âme et tes désirs. J’ai du mal à déglutir car tu joues un peu avec. Tu glisses tes doigts dessous pour vérifier qu’il est bien ajusté.
Tu détaches ta ceinture, et t’amuses un peu avec. Le cuir glisse sur ma peau et tu fais remonter le pli de la ceinture jusqu’à caresser mon sexe laissé à l’air !
Rien que le contact du cuir me fait fondre et frémir.
Tu passes la ceinture d’avant en arrière entre mes fesses et je me cambre tant et plus pour que chaque partie de ma peau en profite.
La ceinture autour de mes poignets, mes mains dans le dos, je scrute ton visage et ton regard.
Très doucement je me retrouve dos à la mer, face aux baies vitrées de la maison qui se trouve devant moi !
 
Ta bouche vient mordiller ma nuque et tes mains m’emprisonnent de partout. Je frissonne. Une main sur un sein que tu dégages un peu, l’autre entre mes jambes je te sens me serrer si fort que tu manques de me faire tomber.
 
La maison devant nous est lointaine, enfin, juste assez éloignée pour nous rassurer, mais de loin on perçoit les silhouettes qui passent de la terrasse à l’intérieur, comme des ombres chinoises.
Tes mains viennent caresser mes fesses, les pressent, tu les écartes un peu, me fais écarter un peu les jambes pour pouvoir mieux me toucher. Je suis à deux doigts de jouir. Un des tiens vient se glisser dans mon humidité, je me mets à bouger pour venir au devant.
 
Tu arrêtes d’un coup, avant que je ne puisse aller jusqu’au bout !
 
Tes mains changent de puissance, et viennent s’abattre sur mes fesses.
Je sens tes doigts me percuter légèrement l’entre-jambe. Ça me pince mais me fait déborder d’envie. Tes mains me chauffent la peau, et je sens toute cette chaleur au fond de moi.
Je me sens dégouliner et tes doigts viennent une fois encore s’introduire en moi pour me travailler encore plus
J’ai l’impression de me liquéfier tellement je coule. J’aimerai que cette sensation dure des heures.
 
D’avoir jouit j’en suis fatiguée, et je me laisse aller sur la rambarde, appuyée dessus pour mieux te résister. Tu ouvres mes fesses, les frappes. Tu te frotte l’espace de quelques allées et venues et je te sens monter au rythme de tes respirations et soupirs.  En l’espace de quelques secondes tu jouis si fort que tout ton corps se raidit contre le miens.
Je sens ton souffle prés de mon oreille et d’une voix rauque, tu me dis que peut être on me voit comme ça. Tu rajoutes que je te donne envie, envie d’encore plus, de tellement plus !
Que comme ça tu te sens tellement aimé que tu te laisses aller à m’aimer.
Je t'aime.
Par O'mbre - Publié dans : ombreattachee
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Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 13:14
Le soleil est déjà levé… et nous émergeons seulement… Mais n’est-ce pas le week end? Nous avons le temps. Tout devient plaisir ! La douche où je te savonne doucement, tendrement, lentement jusqu’à ce que tu te frottes a moi… et que j’arrête mes massages ! Non mais, on va quand même sortir dehors ! Où aller ? Lézarder sur la plage, oui, mais laquelle ? Laisse toi guider…
Nous arrivons sur le haut d’une petite colline. Il faut marcher un peu pour arriver sur cette côte où peu de gens s’aventurent : la mer y est moins calme… Mais la plage, bien plus ! La marche rebute les touristes trop pressés…
La descente est douce mais le soleil qui monte, chauffe et la sueur perle déjà au front. La plage ! Quasi déserte ! Et elle n’est accessible que par le chemin que nous venons d’emprunter…
Nous nous éloignons du chemin. Quelques cocotiers, deux petits arbustes : un petit coin tranquille. Nous étendons nos serviettes et nous allongeons pour paresser.
Tu es sur le dos. La crème solaire est le prétexte de caresses douces et appuyées. Je contourne ton maillot. Bien sur que ton ricanement sera justifié et que ton soutien gorge va être défait… Tu en avais envie. Et la culotte ? Hum, pas sur… Je suis ses bords et à chaque fois repousse un peu le tissu. Il finit par glisser. « Et si quelqu’un ? » Mais non personne… alors… Oui, tu cèdes, mais tu regardes quand même partout au cas où… Comment résister alors, devant tes merveilleuses fesses, à poser sur celle de droite, ma main enduite d’écran solaire… Tu comprends et cela t’excite… Marquée… « Ca va se voir …» Oui… pour les vacances… mais pares, non, alors… Tu te frottes au sable, et tu ronronnes… Finalement cette pensée d’être marquée de manière visible, mais cachée, pour une durée, mais temporaire… elle est quand même stimulante… et tu te sens fondre… Les bisous peuvent s’échanger, les langues se mêler… Du sac, une boisson fraîche… et tu souris… « Voilà donc où je voulais en venir… »…
« Fermes les yeux, s’il te plait » Encore ? Oui. A quoi t’attends-tu ? A quoi penses-tu alors ? Tu m’entends ouvrir le sac, la fermeture éclair. Je prends mon temps. Je t’assoie et me colle à ton dos. Je t’embrasse dans la nuque. J’aime cet endroit. Je te mordille la peau. Tu tentes de me caresser. Je te remets à genoux, les mains devant toi. Je caresse ton cou, l’entoure de mes doigts… Et fais passer sur ton visage ce que tu hésites à deviner comme un lacet épais ou un tissu fin. Je le passe autour de ton cou. Tu es nue. Et maintenant, tu as une lanière de tissu de 2 cm de large qui te fait un collier au cou. Ta nudité resplendit et explose. Tu hésites. Tu ne sais pas si j’ai fini, si tu peux ouvrir les yeux… Tes tempes commencent à taper… Vais-je le laisser… pour te marquer par le soleil ? Ce la se verrait tellement… Non, tu n’y crois pas… quoique… Non, je ne le ferais pas… Tu ouvres les yeux : je te souris. Tu portes la main à ton cou pour vérifier… Ta gorge se serre. Finalement tu n’as pas envie que cela se voit. En face, je te regarde, je contemple ton combat intérieur. Tu te mords les lèvres et murmure un « non »… Je ne fronce pas les sourcils, juste un hochement positif de la tête. Ton sexe semble luisant. Je m’approche de toi, je t’embrasse et ma main vient vérifier ton humidité. Ton corps a choisi pour ton esprit ! Tu n’en reviens pas d’avoir acceptée. Il est temps d’aller se baigner !
 
Au retour, se sécher au soleil… Hum quel bonheur… Tiens, un couple qui se balade. Naturiste aussi. 50 ans environ. De loin, la femme semble grande et longiligne, lui un peu bedonnant. En fait, leurs serviettes ne sont pas si loin des nôtres. Ils sont arrivés quand tu avais les yeux fermés et que je t’ensorcelais avec ton collier. Je les ai aperçus nous épier. Troublés comme tu l’étais, tu n’as rien vu. Maintenant tu te sens gênée et tu t’allonges sur le ventre pour éviter leur regard. Tss tss.. Non, remets sur le dos. Tu râles, j’insiste. Ca t’agace. Tu ne veux pas. Tu cèdes pourtant. Mais tu tournes ton regard vers mon dos, comme une protection, regardant au loin, sans rien voir que la le sable au loin. Je promène une main sur ton corps et je cherche leur regard. Je les fixe, je les provoque. Tu regardes toujours au loin : tu ne veux rien savoir. Ils esquivent un regard. Je joue avec tes tétons, je les étire à chaque fois qu’ils regardent. Ils se mettent à marcher le long de la mer… Vont-ils venir vers nous ? Ils passent devant. Non, raté… Ils ne vont pas très loin. Discutent. Se retournent. Lancent un regard. Et reviennent sur leur pas. Mais là, ils ne suivent plus la berge. Ils vont directement vers leurs serviettes. S’ils continuent, ils ne passeront pas très loin de nous. J’arrête de te toucher. Je fais le sage. Je regarde la mer au loin. Tu t’es aperçu que leur chemin peut les mener vers nous et tu serres les jambes. Ils s’approchent. Chacun semble ne pas voir l’autre… Ils vont passer ? Ma main reprend ton sein et la caresse comme une offrande. Tees jambes sont trop serrée et empêchent de découvrir que tu coules comme une fontaine. Ils s’approchent. « Bonjour, il fait beau, hein ? » Une conversation à ne pas croire… une conversation tellement creuse. Mais la femme te détaille avec avidité. Ma main lâche ton sein et s’ouvre pour te présenter et t’offrir. Elle s’assoit. Tu avales ta salive. Tu trembles. Sa main se dirige vers tes seins. Je peux m’écarter. Tu es offerte, livrée et je vais te regarder.
Tu es belle et vas l’être encore plus dans un instant.
Je t’aime.
Tirlin.
Par Tirlin - Publié dans : Tirlin
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