Concours

Présentation

  • : Voyage intérieur et découverte du bdsm
  • Voyage intérieur et découverte du bdsm
  • : Divers
  • : Je dis souvent qu'il n'y a pas de hasard dans la vie. J'ai découvert le monde de la soumission et du BDSM avec fascination et ça n'était pas un hasard. Je viens partager mes fantasmes et désirs avec vous.
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Texte libre

Des mots... toujours des mots...

Archives

Tirlin

Dimanche 25 mars 7 25 /03 /Mars 13:14
Le soleil est déjà levé… et nous émergeons seulement… Mais n’est-ce pas le week end? Nous avons le temps. Tout devient plaisir ! La douche où je te savonne doucement, tendrement, lentement jusqu’à ce que tu te frottes a moi… et que j’arrête mes massages ! Non mais, on va quand même sortir dehors ! Où aller ? Lézarder sur la plage, oui, mais laquelle ? Laisse toi guider…
Nous arrivons sur le haut d’une petite colline. Il faut marcher un peu pour arriver sur cette côte où peu de gens s’aventurent : la mer y est moins calme… Mais la plage, bien plus ! La marche rebute les touristes trop pressés…
La descente est douce mais le soleil qui monte, chauffe et la sueur perle déjà au front. La plage ! Quasi déserte ! Et elle n’est accessible que par le chemin que nous venons d’emprunter…
Nous nous éloignons du chemin. Quelques cocotiers, deux petits arbustes : un petit coin tranquille. Nous étendons nos serviettes et nous allongeons pour paresser.
Tu es sur le dos. La crème solaire est le prétexte de caresses douces et appuyées. Je contourne ton maillot. Bien sur que ton ricanement sera justifié et que ton soutien gorge va être défait… Tu en avais envie. Et la culotte ? Hum, pas sur… Je suis ses bords et à chaque fois repousse un peu le tissu. Il finit par glisser. « Et si quelqu’un ? » Mais non personne… alors… Oui, tu cèdes, mais tu regardes quand même partout au cas où… Comment résister alors, devant tes merveilleuses fesses, à poser sur celle de droite, ma main enduite d’écran solaire… Tu comprends et cela t’excite… Marquée… « Ca va se voir …» Oui… pour les vacances… mais pares, non, alors… Tu te frottes au sable, et tu ronronnes… Finalement cette pensée d’être marquée de manière visible, mais cachée, pour une durée, mais temporaire… elle est quand même stimulante… et tu te sens fondre… Les bisous peuvent s’échanger, les langues se mêler… Du sac, une boisson fraîche… et tu souris… « Voilà donc où je voulais en venir… »…
« Fermes les yeux, s’il te plait » Encore ? Oui. A quoi t’attends-tu ? A quoi penses-tu alors ? Tu m’entends ouvrir le sac, la fermeture éclair. Je prends mon temps. Je t’assoie et me colle à ton dos. Je t’embrasse dans la nuque. J’aime cet endroit. Je te mordille la peau. Tu tentes de me caresser. Je te remets à genoux, les mains devant toi. Je caresse ton cou, l’entoure de mes doigts… Et fais passer sur ton visage ce que tu hésites à deviner comme un lacet épais ou un tissu fin. Je le passe autour de ton cou. Tu es nue. Et maintenant, tu as une lanière de tissu de 2 cm de large qui te fait un collier au cou. Ta nudité resplendit et explose. Tu hésites. Tu ne sais pas si j’ai fini, si tu peux ouvrir les yeux… Tes tempes commencent à taper… Vais-je le laisser… pour te marquer par le soleil ? Ce la se verrait tellement… Non, tu n’y crois pas… quoique… Non, je ne le ferais pas… Tu ouvres les yeux : je te souris. Tu portes la main à ton cou pour vérifier… Ta gorge se serre. Finalement tu n’as pas envie que cela se voit. En face, je te regarde, je contemple ton combat intérieur. Tu te mords les lèvres et murmure un « non »… Je ne fronce pas les sourcils, juste un hochement positif de la tête. Ton sexe semble luisant. Je m’approche de toi, je t’embrasse et ma main vient vérifier ton humidité. Ton corps a choisi pour ton esprit ! Tu n’en reviens pas d’avoir acceptée. Il est temps d’aller se baigner !
 
Au retour, se sécher au soleil… Hum quel bonheur… Tiens, un couple qui se balade. Naturiste aussi. 50 ans environ. De loin, la femme semble grande et longiligne, lui un peu bedonnant. En fait, leurs serviettes ne sont pas si loin des nôtres. Ils sont arrivés quand tu avais les yeux fermés et que je t’ensorcelais avec ton collier. Je les ai aperçus nous épier. Troublés comme tu l’étais, tu n’as rien vu. Maintenant tu te sens gênée et tu t’allonges sur le ventre pour éviter leur regard. Tss tss.. Non, remets sur le dos. Tu râles, j’insiste. Ca t’agace. Tu ne veux pas. Tu cèdes pourtant. Mais tu tournes ton regard vers mon dos, comme une protection, regardant au loin, sans rien voir que la le sable au loin. Je promène une main sur ton corps et je cherche leur regard. Je les fixe, je les provoque. Tu regardes toujours au loin : tu ne veux rien savoir. Ils esquivent un regard. Je joue avec tes tétons, je les étire à chaque fois qu’ils regardent. Ils se mettent à marcher le long de la mer… Vont-ils venir vers nous ? Ils passent devant. Non, raté… Ils ne vont pas très loin. Discutent. Se retournent. Lancent un regard. Et reviennent sur leur pas. Mais là, ils ne suivent plus la berge. Ils vont directement vers leurs serviettes. S’ils continuent, ils ne passeront pas très loin de nous. J’arrête de te toucher. Je fais le sage. Je regarde la mer au loin. Tu t’es aperçu que leur chemin peut les mener vers nous et tu serres les jambes. Ils s’approchent. Chacun semble ne pas voir l’autre… Ils vont passer ? Ma main reprend ton sein et la caresse comme une offrande. Tees jambes sont trop serrée et empêchent de découvrir que tu coules comme une fontaine. Ils s’approchent. « Bonjour, il fait beau, hein ? » Une conversation à ne pas croire… une conversation tellement creuse. Mais la femme te détaille avec avidité. Ma main lâche ton sein et s’ouvre pour te présenter et t’offrir. Elle s’assoit. Tu avales ta salive. Tu trembles. Sa main se dirige vers tes seins. Je peux m’écarter. Tu es offerte, livrée et je vais te regarder.
Tu es belle et vas l’être encore plus dans un instant.
Je t’aime.
Tirlin.
Par Tirlin - Publié dans : Tirlin
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Mercredi 14 mars 3 14 /03 /Mars 02:00
Que faire ce week-end ? Encore traîner avec des copains dans ce bar qui était devenu ton repaire… Zapper devant la télé en attendant de trouver le sommeil… et se lever le plus tard possible pour que le temps semble moins long… Rien d’excitant… Rien de palpitant… Tu avais déjà lancé à la cantonade : « J’suis libre ce week-end, j’travaille pas… » Personne ne t’avait répondu, personne n’avait relevé ton annonce… « S’il pouvait pleuvoir ! » Au moins cela justifierait que tu ne sortes pas… Le week-end s’annonçait désespérément long, très long…
Vendredi après-midi… Fin du travail. Début du week-end maudit.
Tu rentres chez toi par habitude. Boite aux lettres, courrier. Factures eau, électricité… Pfff… Pubs… Une grande enveloppe à ton nom. Déposée, car elle n’a ni timbre ni cachet de la poste. Qu’est-ce que c’est encore ?
 
Tu ouvres la porte de ton appartement. Entres, caresses ton chat qui vient se frotter sur les jambes : câlins gratuits ou demande de croquettes ? Les chaussures enlevées, un verre d’eau avalé : tu es dans le canapé et tu ouvres cette mystérieuse enveloppe. Qu’est-ce que c’est ? Mais… Un billet d’avion ? Pour ce soir ? Avec un petit mot… « Je passe te prendre à 16h00. Sois prête » Tu rêves ? Tu n’y crois pas ! Tu téléphones : la messagerie. Trop excitée pour laisser un message ! Que dire. Tu n’oses pas y croire. Mais tu as un billet d’avion en main. Il est vraiment pour ce soir ! Tu envoies un sms pour demander confirmation… Mais tu sais que tu n’auras pas de réponse. Le jeu en serait gâché. Tu regardes l’heure : tout juste le temps de faire ta valise, de te doucher et de te maquiller.
Tu es prête, en avance d’une demi-heure. Et s’il ne venait pas ? Bien sûr, il ne t’aurait pas déposé un billet d’avion. Malgré tout tu joues à te faire peur. C’est si bon. Tu es déjà excitée. Une demi-heure. Tu imagines ce week-end ; des fantasmes se bousculent dans ta tête. Que va-t-il se passer ? Seuls tout les 2 ? Avec d’autres ? Hôtel ou bateau. Tu sens ta main qui descend ton ventre, frôle les jambes, évite ton sexe… mais finis par s’y agripper et s’y frotter frénétiquement. Un week-end ensemble, tous les deux…
Ca sonne à la porte. Pile à l’heure. Toi, tu es échevelée, plus très prête. Il est là ! Tu te jettes à son cou, n’arrive pas à tout dire d’un coup, l’embrasses à pleine bouche. Il sourit, te repousse doucement et te dit d’y aller. Ca y est c’est vrai : le week-end commence.
Le vol s’est bien passé. Quatre heures après, de la chambre de l’hôtel vous voyez la mer bleue…
 
20h00. Petit restaurant les pieds dans le sable. Langouste grillée, vin frais et agréable. Glace coco. Tu aimes le charme de ce petit resto. Il fait bon. La main sur l’épaule, il te guide vers la plage. Les bateaux proches oscillent au gré des vagues. Les mâts semblent ivres à tanguer de la sorte. Tu l’es aussi… De plaisir… Vous marchez tranquillement. Et quand il te caresse le cou tu feule de contentement. Il ouvre ton corsage. Tes seins jaillissent, tendus, offerts. Tu glisses la main sous son tee-shirt, mais il t’arrête. « Ne bouge pas » Ton corsage est enlevé. Ton soutien gorge tombe. Ta ceinture est ouverte. Ton pantalon glisse le long des jambes. Le string suit. Tu es nue. Et si quelqu’un te voyait ? La plage n’est pas si isolée… D’autres pourraient aussi vouloir se balader après manger. Et la lune éclaire suffisamment la plage pour qu’on voit les silhouettes… Et peut-être distinguer les vêtements ? Il te serre contre lui. Ton abandon dans ta nudité lui est précieux. Il t’embrasse. Vérifie que tu es déjà trempée et t’emmène à marcher sur la plage. Ton inquiétude de départ s’évanouit petit à petit même si tes yeux scrutent au loin pour tenter de prévenir une rencontre. Tu marches à côté de lui, serrée contre lui. Il n’est pas besoin de parler. Un léger vent te fait frissonner. A chaque pas tu sens ton humidité qui s’étend au haut des jambes. Tu voudrais jouir, là, brutalement. Te délivrer de la tension qui t’anime. Il semble indifférent à cette envie qui te tenaille. Il te tient par la hanche, serrée contre lui. Tu veux te frotter, il sourit. Tu souffles, il sourit. Tu grognes, il sourit. Il est tard. « Vient comme ça jusqu’à la voiture » Un peu d’inquiétude, mais tu as déjà franchit une étape, tu le sais. Tu vas le faire. Ton cœur bat. Tes tempes résonnent. Tu te sens vidée, mais heureuse.
La voiture. Il t’ouvre la portière. Tu gagnes quelques minutes avant de t‘y installer. Tu l’as fait. Tu joues encore un peu avec ce plaisir de t’exhiber. Et tu t’installes, les jambes écartées. La main couvre ton sexe. Il se met au volant, démarre. Tu es silencieuse. Tu caresses son pantalon et attend d’arriver à l’hôtel.
La nuit ? Elle fut bonne… très bonne.
Tirlin
Par O'mbre - Publié dans : Tirlin
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Calendrier

Mai 2025
L M M J V S D
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  
<< < > >>

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus