Nous avions rencontré un soir par les hasards du net, un couple partageant nos envies communes et originalités sexuelles.
Après que vous ayez longuement discuté sur le net Messieurs, vous aviez convenu d’un dîner à la maison.
Ravie je l’étais, car j’aime bien mettre de temps en temps « les petits plats dans les grands » ! Après avoir cuisiné une partie de l’après midi je pris un peu de temps pour me préparer.
Bain, musique, encens, rasage de prés, crème…. J’adore prendre le temps de m’occuper de moi, dnc quand j’ai un peu de temps j’y prends un certains plaisir. Après m’avoir passé de l’huile parfumée sur tout le corps, maquillée et coiffée je t’entends rentrer à la maison.
J’adore cet instant où tu passes derrière moi chaque jour, et que tu viens glisser ta bouche dans le creux de mon cou, que tu m’observe et scrute chaque seconde de nos retrouvailles quotidiennes.
L’heure du rendez vous arrive. Tu souhaite que j’aille me préparer plus encore et me demande d’enfiler mon corset noir et de me tenir prête. L’appréhension d’accueillir des inconnus dans cette tenue m’existe déjà beaucoup.
Le couple arrive, et je te sens content. Tu savoure chaque minute et m’observant en saluant nos amis d’un soir. Gênée et à la fois excitée je fais visiter la maison à la jeune femme pendant que vous vous servez un verre.
On se doute l’une comme l’autre que vous organisez les derniers petits détails de la soirée mais ça nous amuse.
La jeune femme est habillée avec une robe très sexy, sorte de fourreau noir très décolleté. Je la trouve magnifique et très désirable.
Après avoir fait notre petit tour nous voilà de retour prés de vous.
Vous nous servez un verre, et je viens m’asseoir prés de toi, un peu blotti. J'aime ces moments de complicité à un point que tu n’imagines même pas.
De discussions en discussions nous en avons oublié de dresser la table. Ma nouvelle amie vient m’aider et très vite tout est prêt. Nous venons vous chercher pour passer à table, mais en évidence sur la table basse, deux colliers sont posés.
Le mien et les sien.
Tu me regarde avec un petit sourire amusé, et je m’agenouille devant toi pour te laisser déposer autour de mon cou ce lien que nous désirons.
Tu ajustes mon collier et m’embrasses.
Notre invité pare la jeune femme et nous pouvons enfin commencer le dîner.
Bonnes choses et bons vins, et le dîner se passe très tranquillement.
Je vous sers le dessert et prépare vite un café.
Un digestif s'en suit et je me lève pour débarrasser un peu. La jeune femme me suit et nous nous retrouvons l'une prés de l'autre à ranger et plaisanter en faisant la vaisselle.
J’ai très envie de l’embrasser et je passe ma bouche parfois sur son épaule, je l’effleure… Sa peau me semble douce, son odeur suave et tentante. Et nous finissons par nous embrasser….
Au même moment deux mains claquent dans le salon. C’est toi qui frappes dans tes mains mais ça n’était pas un applaudissement !
- tu viens ici ! me dis tu
Nous arrivons toutes deux prés de vous la main dans la main et je m’enhardis à vous demandez si nous pouvons aller jouer ensemble un peu.
La réponse ne se fait pas tarder.
- viens ici prés de moi, mets toi à genoux … tiens, tu veux un digestif ?
Le ton de ta voix est détaché, juste un peu agacé et le doute s’installe. Ta voix me fait frémir dans ces moments là. Je ne sais pas pourquoi mais je sais que tu changes de peau, de visage, et d’attitude. Plus dure tu deviens, ou juste autoritaire, je n’en sais rien. Mais à chaque fois je sens mon cœur s’emballer par appréhension même si je sais que je n’ai rien à craindre.
Je pris une ou deux gorgées d’un vieux rhum vanille et te voilà me tendant un doigt comme pour tremper celui-ci dans ma bouche encore parfumée.
- je te conseille de bien le sucer, de bien l’humidifier. Je vais montrer à nos amis dans un instant que tu es très très docile.
Mon esprit ne fait qu’un tour, jusqu'à présent je ne me sentais pas stressé, mais bien plus amusée. Pendant que je faisais glisser ton doigt dans ma bouche je me sentais très excitée déjà. J’avais un peu peur de ce qui allait se passer après, car face à des inconnus je me demandais bien ce que tu allais exiger de moi.
- debout s’il te plait. Viens sur le canapé, … voila tourne toi bien je veux que tout le monde puisse voir tes fesses.
Tes mains viennent caresser mes fesses et je pressens les claques arriver !
Mais au contraire tu n’en fais rien et tu commences à passer ton doigt dans ma fente déjà très humide
- tu es toute mouillée !
- tu avais envie de faire quoi alors ?
- hein dis moi ?
- vous alliez faire quoi toutes les deux ? vous croyez que vous décidez de quelque chose quand vous portez vos colliers ?
- réponds moi ! ?
Je balbutiais que non, que nous ne voulions pas décider et que c’était bien pour ça que j’étais venu demander la permission !
Ton doigt se fait de plus en plus glissant et d’un coup tu viens l’appuyer contre mon auréole rose. Je suis agacé, et la honte m’envahit. Je sais ce que tu va faire, et moi je suis la, en train de me montrer complètement à des inconnus
- regardes, humm tu es très excitée, et je vais montrer à nos hotes que tu es très docile et que tu aimes que je te caresse comme ça…. On dirait une petite chienne en chaleur.
Ton doigt je le sentais franchir ma chaire, mais finalement je ne savais même pas si tu étais en moi ou si tu en sortais. Ton autre main servait à malaxer mes fesses et des claques légères mais précises commençaient à me chauffer la peau.
Nos invités n'en perdaient pas une miette ;
Puis tu invita monsieur et sa compagne à venir me caresser.
- j’aimerai que vous vous occupiez d’elle. Et elle s’occupera de moi.
Me voila caressé par autant de mains que je ne pouvais les suivre dans l’excitation qu'elles me procuraient.
A suivre…dans le réalité ?